Crédit immobilier : pourquoi 2025 est (enfin) le bon moment pour emprunter !

Par Micheal Moulis le 28 mars 2025 à 08:00
Mis à jour le 24 avril 2025 à 12:11

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Crédit immobilier : pourquoi 2025 est (enfin) le bon moment pour emprunter !

En 2025, les taux de crédit immobilier continuent de faire parler d’eux. Après plusieurs années de fortes variations, où en est-on aujourd’hui ? Voici un point complet sur la situation actuelle et ce à quoi s’attendre pour les mois à venir.

Une stabilisation après une période mouvementée

Ces derniers mois, le marché du crédit immobilier a connu un apaisement bienvenu. Après une envolée des taux entre 2022 et 2023, les emprunteurs peuvent enfin souffler un peu. En ce début 2025, les taux affichent une légère baisse ou, tout du moins, une stabilisation encourageante.

Des taux variables selon la durée et le profil de l’emprunteur

Les meilleures conditions sont réservées aux emprunteurs les plus solides : ceux qui disposent d’un apport personnel conséquent et d’une situation financière stable. Pour eux, sur 15 ans, les taux peuvent descendre aux alentours de 3,40 %. Sur 20 ans, on reste proche de 3,70 %, tandis que les crédits sur 25 ans tournent encore autour de 4 %.

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Il est important de noter que ces taux varient beaucoup en fonction des banques, des régions et du dossier de l’emprunteur. La concurrence reste vive entre établissements, ce qui peut jouer en faveur de ceux qui prennent le temps de bien négocier.

Quelle tendance pour la suite de l’année ?

Difficile de prédire avec certitude l’évolution des taux dans les prochains mois. Cependant, si la politique monétaire reste stable et si l’inflation continue de ralentir, les taux pourraient rester attractifs.

Cette stabilisation est une aubaine pour ceux qui souhaitent concrétiser un projet immobilier en 2025, après des années de forte incertitude.

Les experts estiment que les banques souhaitent relancer la production de crédits. Les conditions actuelles pourraient donc se maintenir, voire s’améliorer légèrement, notamment si la BCE poursuit l’assouplissement de sa politique.